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Le printemps a commencé le 20 mars cette année. L’équinoxe de printemps a précisément eu lieu à 10h37 ce samedi. Mais pourquoi l’équinoxe de printemps, souvent associé à la date du 21 mars, tombe-t-il un jour plus tôt en 2021 ?

Depuis la fin du 16e siècle, nous utilisons le calendrier grégorien. Ce calendrier solaire, divisé en 12 mois, ne rend pas compte d’une réalité : la Terre met 365,2422 jours (ou environ 365 jours, 5 heures et 48 minutes) à faire une rotation autour du Soleil. En d’autres termes, il y a un écart entre ce qu’on appelle l'année tropique et l’année calendaire.

L’équinoxe reviendra un 21 mars en… 2102

Ce décalage est compensé par les années bissextiles : elles consistent à ajouter un jour de plus, tous les 4 ans, à la fin du mois de février. Ce choix a une conséquence sur la date de l’équinoxe, qui se trouve décalée. L’équinoxe de mars ne tombera plus un 21 mars avant 2102...

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Mathilde est née au péage de l'A20 - le 29/03/2021 06:50 par multimedia

Aujourd'hui dimanche des Rameaux - le 28/03/2021 09:57 par multimedia

Dans le calendrier de l'Eglise catholique il était une fête familière à beaucoup de Gignacois. C'était le dimanche des Rameaux, le dimanche qui précédait Pâques. Les fidèles portaient à l'église pour la faire bénir pendant la messe une branche de laurier ou de buis. Les branches qu'apportaient les enfants étaient garnies de rubans, de biscuits ou de petits chocolats recouverts de papier alu. Le laurier béni le jour des rameaux était distribué dans la maison ou suspendu aux portes des étables ou des granges, parce qu'on croyait qu'il protégeait tout ce qui se trouvait à l'intérieur. Cette tradition existait encore partiellement en 1979.
Voici des images filmées à la sortie de la messe des Rameaux 1979 par Suzanne et Georges Delpech. Beaucoup de fidèles portent encore une branche de laurier, mais les garnitures et friandises des rameaux portés par les enfants avaient disparu depuis déjà plusieurs années :

               

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Soucieuse de transparence et d'efficacité, la Fondation du Patrimoine a mis en place des outils pour mesurer l'impact économique et social de ses projets et de ses aides. Pour cela elle a fait réaliser par le Bureau d'Etudes Pluricité sept études de cas. Le but : mesurer, apprécier, qualifier les impacts multidimensionnels d'un acteur central qui oeuvre à la sauvegarde et à la valorisation du patrimoine français. Le moulin de Gignac fait partie des sept études de cas.
                          

La mesure de l’empreinte socio-économique des projets restaurés à l’échelle locale

Approche territorialisée des effets économiques et sociaux induits par la restauration du patrimoine

Sept études de cas ont été réalisées sur sept projets locaux restaurés dans les trois dernières années et qui ont bénéficié du soutien et de la Fondation du patrimoine : le Théâtre de Nevers (58), la façade du café de Villedieu (84), la sculpture de la basilique Saint-Martin de Tours (37), l’église Saint-Étienne de Lacanche (21), le moulin à vent de Gignac (46), le fort de la Sauvetat (63) et la salle Sthrau de Maubeuge (59). 
                 

Une synthèse croisée des enseignements

Valorisation des constats et enseignements transversaux tirés des différents travaux de collecte réalisés, à la fois sur le volet quantitatif/économique et qualitatif/sociétal.

La monographie de 40 pages intitulée "Etude d'impact socio-économique Etude de cas : le Moulin à vent de Gignac peut être consultée sur le site de la Fondation du Patrimoine.
         

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Cliquer sur ce lien

L'étude devait être réalisée sur place, un jour d'ouverture du moulin, avec enquête auprès des visiteurs,mais les conditions sanitaires ont rendu impossibles toutes les rencontres qui étaient prévues. La collecte de renseignements s'est faite uniquement par téléphone ou via Internet (ce qui explique que des noms propres soient écorchés ! et des chiffres mal retranscrits - 6000 habitants au lieu de 670 par exemple).
                       

Dernière précision :

Dans la prochaine campagne de communication de la Fondation du Patrimoine, parmi les visuels utilisés, on pourra voir deux photos du Moulin de Gignac : le moulin tel qu'il était en 1975 et le moulin tel qu'il est aujourd'hui.

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Non seulement le chemin qui va d'Estivals à la Pierre des Trois Evêques porte désormais le nom de "Chemin des Trois Evêques" comme annoncé hier, mais aussi le pseudo-menhir déposé par Gignac affiche à présent un numéro (1104, la distance en mètres qui sépare la Pierre des Trois Evêques du hameau de La Rochade).

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On peut s'interroger sur l'emplacement choisi, emplacement heureux ou peu pertinent ? Une verrue regrettable sur un monument qui porte tant de symboles ?

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Estivals a terminé la réalisation de l'adressage. Le 2 mars 2021 nous vous indiquions que la Route départementale RD 181 qui va du cimetière d'Estivals au moulin de Gignac s'appelle désormais "Route de Gignac". Voici la plaque installée au croisement du moulin, à la limite de la frontière interrégionale et interdépartementale :

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Un deuxième "nom de rue" (?) nous concerne directement. Le chemin qui part de la Pierre des Trois Evêques en direction d'Estivals s'appelle maintenant "Chemin des Trois Evêques". Une plaque a été apposée sur le mur qui marque la frontière entre Estivals et Gignac.

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Les morilles sont là ! - le 23/03/2021 17:43 par lopatrimoni

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La cueillette du jour, certes peu abondante , mais qui déjà, bien avant l'omelette du soir, fait "saliver"...

  

Depuis plusieurs années on ne déniche que peu de morilles. Pourquoi ? On a beau chantonner la comptine que chantaient nos grands-mères et arrière-grands-mères, la cueillette reste mince. Il est vrai que nous n'avons plus de tabliers ! Nos grands-mères relevaient les pans de leur tablier et mettaient délicatement le précieux champignon dans la "poche" ainsi formée.

Dich dels
cherchaires de mirigolas
:
                  

Prononcer : Comptine
des chercheurs de morilles :
                    
Mirigola, Mirigoulo Morille,
pel de pola, Pèl dé poulo Peau de poule,
pel de jal, Pèl de dzal Peau de coq
vene dins mon davantal ! Vèné din moun dovontal  Viens dans mon tablier !

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La maison du meunier squattée par les chauves-souris - le 23/03/2021 07:39 par lopatrimoni

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Voici l'une des chauves-souris qui , cet hiver, ont élu domicile dans le fournil. Celle-ci est suspendue à l'un des cribles. Au départ elles entraient par le "gabourier" (prise d'air pour le tirage, située au fond du four). Mais après obstruction de cet "oura" elles sont entrées par la cheminée. 
On voit à Gignac de moins en moins de chauves-souris à cause de la diminution très importante du nombre d'insectes. Elles sont en effet au sommet de la chaîne alimentaire et jouent un rôle essentiel dans la régulation des populations d'insectes. Ce sont elles qui, l'été, nous débarrassent des moustiques. Une seule chauve-souris peut en ingurgiter plus de 600 en moins d'une heure !

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Nouveau site de la mairie de Gignac - le 22/03/2021 15:08 par Mairie

Le nouveau site de la mairie de Gignac sera en ligne dès ce soir 18h00.

http://www.gignac46.fr

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Une DS venue des USA au moulin cet après-midi - le 20/03/2021 21:52 par patrimoni

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Roland Barthes lui consacre une page de son essai Mythologies (1957), dans lequel il analyse les mythes contemporains.

    « La nouvelle Citroën tombe manifestement du ciel dans la mesure où elle se présente d’abord comme un objet superlatif. [...] La «Déesse» a tous les caractères (du moins le public commence-t-il par les lui prêter unanimement) d’un de ces objets descendus d’un autre univers [...] . C'est pourquoi on s'intéresse moins en elle à la substance qu'à ses joints. On sait que le lisse est toujours un attribut de la perfection parce que son contraire trahit une opération toute humaine d'ajustement : la tunique du Christ était sans couture, comme les aéronefs de la science-fiction sont d’un métal sans relais. La DS 19 ne prétend pas au pur nappé, quoique sa forme générale soit très enveloppée; pourtant ce sont les emboîtements de ses plans qui intéressent le plus le public: on tâte furieusement la jonction des vitres, on passe la main dans les larges rigoles de caoutchouc qui relient la fenêtre arrière à ses entours de nickel. Il y a dans la DS l’amorce d’une nouvelle phénoménologie de l’ajustement, comme si l’on passait d’un monde d’éléments soudés à un monde d’éléments juxtaposés et qui tiennent par la seule vertu de leur forme merveilleuse, ce qui, bien entendu, est chargé d’introduire à l’idée d’une nature plus facile. »

La voilà à Gignac en 1965 :

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